2018. L'Europe des jardins

Comme on peut s'en convaincre à travers sa visite réelle
ou virtuelle, Un jardin philosophe présente, de façon modeste,
les différents styles des grands jardins d'Europe :
à l'italienne par ses jardins clos et son allée jalonnée de colonnes
végétales ; à la française par les allées-perspectives du verger
lumineux ; à l'anglaise par ses traversées de nature...
sans oublier les plantes et influences venues d'Orient,
comme le nom et le mythe d'Europe.

La princesse de Phénicie (c'est-à-dire le Liban actuel)
cueillait des fleurs sur un rivage quand surgit de la mer
le dieu Zeus, sous la forme d'un superbe taureau blanc.
Il s'agenouilla devant celle dont il s'était soudain épris
et elle, le voyant si doux, le couronna de fleurs et monta sur sa croupe.
Le taureau n'eut plus qu'à l'emporter sur la mer jusqu'à l'île de Crète
où elle mit au monde Minos, qui allait devenir roi et épouser Pasiphae.

Ils eurent plusieurs enfants parmi lesquels Ariane, mais aussi, en raison
de l'intervention d'un autre taureau, ce monstre mi-homme mi-bête :
le Minotaure, qui allait être enfermé dans un labyrinthe.
L'origine du symbole complexe et puissant qu'est le labyrinthe,
est évoquée dans le jardin par des textes et documents antiques.

En 2018, ces histoires mythiques ont été ravivées par la présence
des étranges hommes-animaux sculptés par Antoine Halbwachs,

Le reportage de cette année est en préparation mais en attendant,
on peut en apprendre un peu plus d'un clic Vers La page suivante.